Millie ♦ I love the way you lie

Citation de fifou parce qu'on est des fifous (bonjour inspiration)

Attention, ça va parler de moi

Dans un Minimum de 500 mots

Je suis née le 15 décembre 1989 à la maternité de Dublin, du moins l'une de ses maternités. Née d'une mère Infirmière et d'un père Pédiatre, j'ai toujours été bercé dans le monde médical. J'aimais aller avec mes parents à l’hôpital où ils travaillaient, parfois je les attendais dans la salle de pause lorsqu'ils m'emmenaient avec eux au travail. Du côté de mon père, mon grand père était médecin généraliste, d'où la passion de mon père pour la médecine, et d'où ma propre passion. Depuis que je suis petite, en entendant le nombre d'histoires qu'il se passaient à l’hôpital, j'ai eu envie d'aider les gens moi aussi. Je jouais régulièrement au docteur à la maison, j'avais toute la panoplie.
En grandissant j'avais toujours cette envie de travailler en tant que docteur ou infirmière comme ma maman, mais cette "passion" à été mise un peu de côté, et oui la vie quotidienne devait avoir lieu, l'école, les copines,...

J'ai eu une scolarité assez banale jusqu'au lycée. Le lycée a été une période que je décrirais comme "horrible". Non pas que mes études se soient mal passées, ça non j'avais de très bonnes notes au contraire. Mais niveau vie sociale ce n'était pas vraiment ça. J'avais bien quelques copines bien sur, mais étant considéré comme une "intello", je dois avouer que j'étais l'une des cibles préférées des ados "populaires". Je n'étais -je pense- pas moche, j'aurais très bien pu avoir mes chances de faire partie de l'équipe des pom-pom girls, mais ce n'était pas vraiment ce que je voulais faire. En activité extra-scolaire j'avais pris des cours de chimie ainsi que de la natation. Bref rien qui fasse rêver les autres élèves qui aimaient donc bien se moquer de moi. Mais j'étais déjà optimiste à l'époque, je ne voyais que mon but "faire médecine" alors je me disais que le lycée serait vite passé, que j'avais quelques amies géniales et que toutes ces personnes qui s'amusaient de moi, n'auront peut-être pas la vie aussi "rose" qu'ils ne le pensaient.

Après ces 3 années difficiles, je pris la route pour la fac de médecine. Ma passion devenait peu à peu "réelle". J'ai travaillé dur, mais les études ne m'ont jamais fait peur. Du genre ambitieuse, je n'aurais lâché ma vocation pour rien au monde. J'ai rencontré des gens super là bas, et personne ne se moquait de moi puisque nous étions tous ici pour le même objectif et la même passion. Après des stages à l’hôpital, et des années de formations, j'ai terminé mes études il y a deux ans. J'ai du faire deux années de médecine avant de me tourner vers la chirurgie, puis depuis quelques mois j'ai achevé ma formation pour être spécialiste en chirurgie réparatrice. C'est un peu comme la chirurgie plastique sauf que cela n'a rien a voir avec la beauté, mais bel et bien avec la santé, "réparer" les parties du corps des gens qui ont des malformations, qui ont subit de graves accidents,... Pour aider les gens, je ne me voyais pas faire mieux que ce métier. Mais pour pratiquer ce métier, il ne suffit pas juste d'être diplômé ou formée dans une spécialité. Personne n'a voulu me faire vraiment confiance en m'intégrant directement au service de chirurgie réparatrice, donc actuellement je suis chirurgienne urgentiste et je travail en collaboration avec des chirurgiens réparateurs. D'ici quelques temps, lorsque j'aurais vraiment fait mes preuves, je pourrais je l'espère intégré leur service une bonne fois pour toute. Même si le métier d'"urgentiste est extrêmement difficile, travailler toujours sous la pression et dans la rapidité, j'aime vraiment ce que je fais, je me sens utile.

Assez parlé de travail, même si c'est quelque chose qui prend une grande part de ma vie, j'aime rentrer à la maison et souffler un peu. Étant donné que j'ai des horaires décalés et compliqués, que je travail parfois 48 à 72h d'affilé, j'ai régulièrement 2/3 jours de repos d'affilé également. Ça me permet de passer du temps avec mon chéri et mes amis.